Friday 13 January
Nous voilà à Tanah Rata à environ 1300m d’altitude. Il fait plus frais : 20°C hier soir dans notre chambre et seulement 17°C ce matin. Réveil aux aurores pour vous blogger nos deux derniers messages fraîchement corrigés par notre maître Capello, Gérard. Et aussi pour partir de bonne heure en randonnée avant l’arrivée de la pluie. On part un peu plus tard que prévu, Julien n’ayant pas entendu le réveil et Thierry pensant qu’il avait eu une sale nuit le laissa dormir. En plus, il ne pleut pas ce matin et le temps a l’air de s’éclaircir, donc pas de panique. On part vers 10H30, le temps est couvert, notre sentier passe par la station de recherche agricole et les serres de fraises.
Une halte-dégustation s’impose. Ensuite, on commence la grimpette dans la forêt. Le méli-mélo de racines à la surface du sol nous sert d’escalier.
On aperçoit des oiseaux de couleur, trop chouettes, mais trop rapides pour les photographier. Plus on monte, plus on approche des nuages ! Ces mêmes nuages qui font une brume plutôt mystique dans les arbres, trop beaux. Plus ça va, plus ça grimpe ! Les marches sont de plus en plus hautes, le sentier n’est pas trop boueux, mais la pluie commence à tomber. 1h45 après, nous voilà au sommet du Gunung Beremban à 1840 m. Sur la fin, il aura fallu s’aider des mains. On ne tarde pas, car on ne voit rien, étant dans les nuages et il pleut.
On prend un autre sentier pour descendre. Il pleut de plus en plus et les glissades sont inévitables. On perd la trace de notre piste, on finit en mode accrobranche et glissade sur les fesses pour arriver enfin à récupérer notre chemin qui mène à des chutes d’eau. En même temps, les chutes d’eau on se les prend sur la tête depuis plus d’une heure. On regrette notre appareil-photo étanche pour éterniser ce moment. La pluie commence à se calmer quand on arrive devant les chutes. Une petite photo et ça repart !
3h30 après notre départ, nous voilà trempés jusqu’au slip. Ça suffira pour aujourd’hui, on rentre à l’hôtel. Et là ! Qu’est-ce qu’on voit !!!!!!!??????? Mini-Glück qui ne voulait pas sortir avec nous ce matin évoquant une humidité trop élevée pour son petit corps et un état fébrile. Mais Monsieur est là, en pleine forme, à se pavaner avec trois petites écolières malaisiennes ! Monsieur est ravi de les faire rire et de passer entre leurs mains. Quel petit chenapan, une vraie graine de Glück !
Saturday 14 January
Ce matin, pas de retard à l’allumage. La nuit a été encore fraîche, en dessous des 20°C, et les Glücks ne sont plus habitués au frais. On quitte la guest-house un peu après 8h pour aller prendre le petit déjeuner en ville avec les locaux dans une gargote en bord de route. Ça sera du thé avec du lait (lait concentré en boîte pour être exact) et des rôtis (sorte de pancakes) avec œuf sur le plat dedans.
8h45, on prend la direction de notre randonnée du jour. Au programme, deux petits sommets environnants pour finir dans les plantations de thé. Le dénivelé du jour n’est encore pas très important et ce coup-ci, le ciel bleu pointe le bout de son nez par endroits. On a laissé mini Glück à l’abri ayant peur que le temps se gâte de nouveau. On veut préserver notre ami car ses petits rivets commencent un peu à rouiller (rien de grave) et on compte bien le ramener en France en entier. Puis on sait qu’on le laisse en bonne compagnie… On quitte la route pour la végétation. C’est une vraie promenade de santé en forêt, moment fort agréable. Surtout que le temps est de la partie. La pente devient raide sur la fin et il faut à nouveau enjamber un paquet d’arbres couchés. Nanard, faut que tu fasses quelque chose ! On revoit nos petits oiseaux de la veille dont encore les jolis Mesias. Quelques fleurs par-ci par-là. On n’est pas bien là, Tintin ?!?
D’ailleurs à en discuter, un sentiment commun nous anime (pas dans le Gard…) depuis le passage des 7 mois. Il nous reste moins de temps à parcourir que celui que nous avons parcouru depuis le 7 juin. Résultat, même si nous avons toujours vécu notre trip à fond, ce sentiment est exacerbé avec une fin que l’on sent plus proche. C'est tout de même relatif, car il nous reste plus de 4 mois et demi. Donc voilà, on profite encore plus de tous ces moments uniques que nous vivons et que nous ne revivrons peut être plus.
Un peu moins d’une heure et demie après, nous voilà au premier sommet, le Gunnung Jasar, 1670 m.
On continue et on cherche notre chemin. On était prévenu, le sentier n’est pas facile à trouver et on peut facilement se perdre. Un Glück averti en vaut deux n’est-ce pas ? Ça tombe bien : on est deux… ou quatre... Le sentier qu’on emprunte descend, descend et descend toujours. Mais bon sang, c’est quoi ce bazar ? 15 minutes plus tard, on retombe sur le sentier de notre ascension (oui Bille, c’est en mai, on sait…). Qué paso ? Concertation des Glücks, on rebrousse chemin et on remonte, même pas peur. On comprend ensuite qu’on n’est pas à notre premier sommet, mais au deuxième ! Bon, on laisse tomber ! On prend la direction des plantations de thé. Là, ça se complique encore : le chemin disparaît dans la végétation. C'est encore difficile de rester debout mais on avance toujours à un rythme de Glück qui nous est cher. On rattrape un chemin qui nous amène à travers le potager des familles descendant des aborigènes malais, Orang Asli. Un travail de pro : choux, céleris, haricots verts, oignons, etc...
Ensuite, on s’arrête devant une mare où nous hallucinons en voyant la multitude de poissons colorés. On reconnaît des poissons d’aquarium : platy et guppy.
On continue et on cherche notre chemin. On était prévenu, le sentier n’est pas facile à trouver et on peut facilement se perdre. Un Glück averti en vaut deux n’est-ce pas ? Ça tombe bien : on est deux… ou quatre... Le sentier qu’on emprunte descend, descend et descend toujours. Mais bon sang, c’est quoi ce bazar ? 15 minutes plus tard, on retombe sur le sentier de notre ascension (oui Bille, c’est en mai, on sait…). Qué paso ? Concertation des Glücks, on rebrousse chemin et on remonte, même pas peur. On comprend ensuite qu’on n’est pas à notre premier sommet, mais au deuxième ! Bon, on laisse tomber ! On prend la direction des plantations de thé. Là, ça se complique encore : le chemin disparaît dans la végétation. C'est encore difficile de rester debout mais on avance toujours à un rythme de Glück qui nous est cher. On rattrape un chemin qui nous amène à travers le potager des familles descendant des aborigènes malais, Orang Asli. Un travail de pro : choux, céleris, haricots verts, oignons, etc...
Puis on traverse la culture d’un fruit local en forme de grosse poire appelé manisa labu siam, ou sechium edule, appelé la chayotte en France mais surtout chouchoute en Nouvelle- Calédonie ! Mais oui maman, Aurélie nous en avait fait un gratin ! Et Cricrof avait écrit que ça ne pouvait être que bon étant donné son surnom de christophine ! Ah que de souvenirs !!!…
Ensuite, on s’arrête devant une mare où nous hallucinons en voyant la multitude de poissons colorés. On reconnaît des poissons d’aquarium : platy et guppy.
Nous dépassons le village des Orang Asli et nous voilà dans les champs de thé.
C’est la première fois que nous en voyons, et grande surprise, on dirait des buissons de laurier !
La cueillette se fait 3 ou 4 fois par an, à la main, et on ne ramasse que les jeunes pousses au feuillage vert clair. Les différentes sortes de thé, noir, vert, rouge, etc. ne viennent pas de différentes plantes, mais du procédé de préparation. A lire pour les intéressés : thé.
Le but de notre sortie est de finir au salon de thé de la plantation que nous traversons pour une dégustation. Et là, ça commence à être drôle. Nous voilà en plein dans les plantations au fond de la vallée et le salon avec terrasse se situe à environ 200 mètres plus haut. Voilà que les Glücks décident de faire un tout droit, ou presque, à travers les théiers. Plus nous approchons, plus nous constatons que les Malaisiens nous observent, depuis la terrasse, de façon dubitative. Mais qu’est ce qu’ils foutent là ces deux blancs ?!
Et ce n’est pas fini… 2O minutes plus tard, nous voilà, les chaussures et nos pantalons bien boueux. On nous observe encore. Peu importe, on est vacciné depuis l’Indonésie. On commande nos deux thés et v’là ti pas que nos deux Glücks sortent d’un papier journal leurs deux rôtis à la banane achetés ce matin. On n’est pas bien là, Tintin ?!?
C’est la première fois que nous en voyons, et grande surprise, on dirait des buissons de laurier !
La cueillette se fait 3 ou 4 fois par an, à la main, et on ne ramasse que les jeunes pousses au feuillage vert clair. Les différentes sortes de thé, noir, vert, rouge, etc. ne viennent pas de différentes plantes, mais du procédé de préparation. A lire pour les intéressés : thé.
Le but de notre sortie est de finir au salon de thé de la plantation que nous traversons pour une dégustation. Et là, ça commence à être drôle. Nous voilà en plein dans les plantations au fond de la vallée et le salon avec terrasse se situe à environ 200 mètres plus haut. Voilà que les Glücks décident de faire un tout droit, ou presque, à travers les théiers. Plus nous approchons, plus nous constatons que les Malaisiens nous observent, depuis la terrasse, de façon dubitative. Mais qu’est ce qu’ils foutent là ces deux blancs ?!
Et ce n’est pas fini… 2O minutes plus tard, nous voilà, les chaussures et nos pantalons bien boueux. On nous observe encore. Peu importe, on est vacciné depuis l’Indonésie. On commande nos deux thés et v’là ti pas que nos deux Glücks sortent d’un papier journal leurs deux rôtis à la banane achetés ce matin. On n’est pas bien là, Tintin ?!?
Après notre petit encas, il est 13 h. On repart par la route pour rentrer à Tanah Rata 3 km plus haut. Voilà encore une bonne petite journée en Malaisie.
Sunday 15 January
Matinée tranquille, le temps est à nouveau pluvieux. On profite du salon TV en attendant notre bus pour Ipoh en début d’après-midi. Voilà, donc après avoir déjeuné dans une éternelle petite gargote, chinoise ce coup-ci, nous allons au terminal de bus.
Nous attendons notre bus "Unititi" un peu plus longtemps que prévu, mais ça c’est une habitude de voyage. Il arrive avec le capot moteur ouvert…
On quitte la région de Cameron Highlands. La route s’élève encore un peu et nous fait passer par les villes voisines où se trouve un golf, le centre de la fraise, de l’orchidée et même du cactus ! Tous les trucs que les Glücks sont bien contents d’avoir évités en partant se balader dans la nature. Encore des paysages magnifiques sous nos yeux, désolé si on se répète. La montagne et la jungle sont en parfaite symbiose. On aperçoit par endroit la vapeur surgir de la forêt comme la fumée d'un feu, et s'élever pour aller rejoindre et former les nuages .
2 heures de route (de descente) plus tard, nous arrivons à Ipoh. Un peu avant la ville, nous avons vu une carrière Lafarge où la montagne et la forêt étaient attaquées par un énorme grignotage. A voir ça, on ne peut s’empêcher de penser, nous les fourmis voyageuses (ex et futures ouvrières) que nous sommes dans une immense fourmilière sur cette terre trop petite !
On prend un taxi pour nous amener près du centre. Encore une fois la négoce ne mène à rien. En même temps, on n’a pas beaucoup insisté. On se dit que c’est le tarif du dimanche et qu’on participe à la répartition des richesses... On nous dépose donc en plein quartier chinois où il y a des hôtels bon marché. Comme d’habitude, on fait plusieurs visites avant de se décider. Au troisième hôtel, difficile de ne pas rire derrière le gérant qui nous fait la visite. Ah, on a dormi dans la jungle et des endroits sordides mais là non ! Pour le même prix, on a mieux. Merci monsieur, au revoir !
Monday 16 January
Temps orageux au réveil, la pluie tombe par averses violentes. Du coup, on attend que ça passe. Julien va en expédition chez le coiffeur en espérant ne pas revenir à nouveau la tête trouée. Mais cette fois le Chinois a été efficace. Ipoh, ville de 300 000 habitants selon le routard et 637 000 selon internet, son nom vient de l’arbre qu’utilisent les Orang Asli pour empoisonner les flèches utilisées à la chasse à la sarbacane. On visite la ville en passant devant les différents bâtiments, vestiges de l'époque coloniale anglaise et du grand boom de l’étain dans la région. La ville est sympa et les autres touristes sont rares.
On passe par le marché. On aime ces moments où on est mêlé aux locaux, loin des foules des autres voyageurs.
On déjeune dans la grande cantine chinoise qui est dans le marché.
Encore un moment cocasse pour passer commande, notre Chinois ne comprend que dalle à l’anglais. Pour commander le plat, pas de soucis, on lui montre la photo. Par contre, pour la boisson ça se complique. On veut un thé glacé avec du lait. Réponse : « Aaaahhh ! ». Alors sachez que depuis l'Indonésie on comprend le : « Aaaahhh », « Oooohhh » et le « Aaaahhhhoooh ».
Donc là, le « Aaaahhh » signifie qu’il n’a rien compris, mais il ne veut pas le dire. On réitère : « Ice thee whith milk ». Réponse : « Hooohhh ». Traduction : il ne comprend vraiment pas. On lui écrit sur une feuille et réponse à la lecture de notre mot : « Aaaahhhhoooh ». Bon, OK, on va s’asseoir, on verra bien. Notre plat arrive : des nouilles frites avec des légumes et des crevettes.
Suit, notre boisson surprise : du thé chaud avec du lait. Ah, zut, on y était presque ! Avec bonne humeur, les deux camps s’échangent des grands sourires. « Merci beaucoup ».
On sort du marché. Le temps s’est amélioré et il fait toujours aussi chaud et lourd. On passe dans un centre commercial, histoire de voir. On flâne en curieux, on étudie même la possibilité d'acheter une maison clé en main pour 75 000€.
Depuis notre arrivée à Ipoh, on remarque que la ville est chinoise ! Où sont les Malaisiens ? Quand on ne voit pas des Chinois, on voit des Indiens. On constate que le nouvel an chinois (23 janvier) se prépare : lampions dans les rues, pétards, encens et cadeaux à vendre partout.
Le soir, on dîne. Devinez où ??? Chez un Chinois. On passe par le marché de nuit : rien d’exceptionnel, un marché de fringues, bijoux, montres, etc. Mais, concept original, de nuit !
Tuesday 17 January
Ce matin, on va à la station de bus locale suivant les indications de notre réceptionniste (chinois), spécialiste en cartographie sur post-it. Il reste à chaque fois surpris qu'on marche , alors qu'avec un taxi... Le ciel est dégagé, plus de 30°C au thermomètre. Le t-shirt nous colle au corps après une dizaine de mètres. Un temps que nous appellerons « anti-Bebel » en hommage à un pote au verbe si particulier. Bon d... ! Si tu nous lis ! 30minutes après notre pause-café, nous voilà au terminal. Nous sommes encore les seuls touristes des lieux. On prend un bus pour le Perak Tong Temple. Désolé, Raf, ce n'est pas le temple de la Tong.
Temple bouddhiste dans une grotte bien agréable, bien décoré et avec un escalier de 330 marches pour accéder au sommet de la colline dans laquelle il se trouve. On apprécie la zénitude du lieu et un peu comme dans les églises chez nous, le silence y est apaisant, reposant.
On a retrouvé le chanteur des Garçons Bouchers.
Retour en ville pour déjeuner dans une gargote de la station de bus. Là encore, pas de soucis pour commander le plat, mais pour la boisson, ça recommence. Notre Chinois d'un âge respectable veut nous refiler de la canette, alors qu’on demande à nouveau un thé glacé avec du lait. On commence à se dire qu’on va devoir apprendre le Chinois. Comme la veille, on répète notre requête. Il clôt la conversation sur « yes » et fait signe d’aller nous asseoir. On attend notre boisson surprise. Et là ! Surprise, il nous ramène deux belles tasses remplies de thé avec du lait et des glaçons. Yaouuu ! Notre joie le dépasse un peu, mais on devine que lui aussi est heureux de notre réaction. Oui, on devine, car avec leur faciès et leurs yeux bridés difficile de lire leurs émotions.
On quitte notre sage Chinois pour reprendre un bus, lui aussi, d’un âge respectable. Direction un deuxième temple, le Sam Poh Tong. Oui, ça nous manquait un peu depuis l’Indonésie !
On fait le tour du site en compagnie d’un bus de visiteurs. Le temps de leur présence, ils animeront les lieux avec leur langage si différent qui prête parfois à sourire. On les observe s’incliner, les mains jointes, devant chaque statue. On continue de notre côté, un peu à l’écart, et on découvre l’endroit où sont incinérés les corps, et où est exposée une plaque commémorative. Sur ce, on rentre à l’hôtel.
NB : Ici, comme en Indonésie, les étudiants, du primaire à l’université, sont en uniforme. Nous savons que la classe de CM2 de Laure s’est questionnée sur le port de l’uniforme. C’est génial si notre voyage, en plus de vous faire découvrir le monde, vous permet de vous interroger. D’ailleurs, nous attendons de votre part plus de réponses pour la trace trouvée dans le parc de Taman Negara. Et non, ce n’est pas une tortue, ni un ours, ni un rhinocéros, et encore moins l’oiseau du dessin animé là-haut. Pas simple… On a un magnifique ou nullissime jeu de mots avec la réponse d’ailleurs. Allez, à vos claviers (Christian) !
Salut vous deux, la famille Barbier s'interroge sur la trace.... Après quelques recherches, nous avons l'impression qu'elle ressemble à une trace d'hippopotame mais la taille de cette trace ( comparée à la main présente sur l'image ) nous fait penser plus à l'empreinte d'un bébé hippopotame plutôt qu'un adulte. Si on trouve, on gagne un voyage gratuit pour venir vous voir ??? On pense à vous ; Amaya, Lucas et Titou
RépondreSupprimerLaura et Papou pensent que les traces sont celles d'un tigre.
RépondreSupprimerIdée de thomas : Je pense que c'est une autruche .
RépondreSupprimerSalut les Glücks,
RépondreSupprimerVous devez vous demander pourquoi vous n'avez pas de réponses de notre part concernant la trace !
En fait, les enfants devaient vous donner une réponse directement de chez eux (c'était la leçon de lundi soir !) et plusieurs ont rencontré des problèmes (écran tout blanc !!!) seule Adèle a réussi !
Donc je remets ça demain ... et promis vous aurez des propositions ! Là encore ils ne manquent pas d'idée, je vous assure !
A plus
cochon sauvage
SupprimerNous avons trouvé qui fait de telles traces: le cochon sauvage... si! si! nous en avons vu des milliers en Corse, enfin..... on les a cherchés..... en suivant les mêmes traces!!!! nos amis co-voyageurs peuvent confirmer!!!.
RépondreSupprimerJe pense que s'est un schtroumpf géant.(non je rigole je ne sais pas ce que c'est)
RépondreSupprimerSalut les glücks (passer le bonjour à mini glück).Comme vous l'a expliquer Laure on devait vous répondre à votre empreintre mais il y avait un problème,alors on a remis ça a aujourd'hui.Moi je pense que l'empreinte vien d'un tapir.A la prochaine.
RépondreSupprimerSalut les Glucks et bien sur mini Gluck.pour la question que vous nous avez posé. J'ai bien réfléchi et je pense que c'est un tapir. Vos photos sont magnifiques a+.
RépondreSupprimerUn petit message d'essai car il semble qu'il y ait quelques difficultés pour envoyer des commentaires !
RépondreSupprimerJe pense que ce sont des traces d'hippopotame, mais y en a-t-il en Malaisie ?
salut je pense que c'est un ornithorynque ou alors un tapir
RépondreSupprimera+ :D
Hélène J de la classe de Laure
salu les glück et a mini glück j ai regarder vos photos elle son manifique et par raport a l empreinte moi je pense que c est un tapir (mais je ne c est pas trop)
RépondreSupprimermarjorie de la classe de laure