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« Certains ont une peur bleue de l'inconnu et refusent tout changement qui les touchent personnellement. Ils ont des idées, des projets, des rêves, mais ne les accomplissent jamais, paralysés par mille peurs injustifiées, les pieds et les poings liés par des menottes dont ils sont pourtant les seuls à avoir la clé. Elle pend autour de leur cou, mais ils ne la saisiront jamais. »

Parce qu’on refuse de s'enfermer dans nos habitudes qui solidifient l'esprit, ni dans le confort engourdissant de ce que nous avons et savons déjà faire. Nous allons saisir cette clé afin d’aller au-delà de notre peur de l’inconnu. ( cf. L.Gounelle)

jeudi 16 juin 2011

Mindo

Avant tout, vous pourrez remarquer que nous avons rajouté quelques photos d’Otavalo.

Dimanche 12 : journée de transit. On commence d’ailleurs à découvrir les astuces des transports en commun ou plutôt communs. En effet, après avoir acheté nos billets pour Mindo (2 h à l’avance !), on nous propose un autre bus avec un arrêt en cours pour reprendre une camionnette nous amenant à Mindo… Trop tard et rien ne nous presse. Nous avons à nouveau constaté à la gare routière que les Équatoriens avaient le sang chaud (et aussi parfois alcoolisé) et qu’ils en viennent vite aux mains.
Route vers Mindo, toujours avec un bus rudimentaire (Daniel, tu peux admirer le siège high-tech) et une conduite plutôt sportive.
Vous ne voyez rien ??!! Lui non plus à notre avis…
Mindo (2500 hab. à 1250m), arrivée de nuit. Il fait chaud et humide ; ça nous change de la fraicheur de Quito. Nous sommes accueillis par Marcello, le propriétaire de notre auberge (Rubby Hostal). Nous nous faisons comprendre de notre mieux ; un peu d’espagnol pour Julien et en Anglais pour Thierry. Si on avait su, on aurait bossé plus nos cours de langues….

Lundi 13, Visite d’une ferme de papillons.

De la chenille au cocon, puis la naissance etc

Puis, randonnée de plus de 4 h en pleine forêt tropicale ou plutôt équatorienne. Encore une bonne balade de Glück, du Gabardère dans la Jungle pour les connaisseurs. Ils ne connaissent pas les lacets…Après-midi cool, car ici, il pleut entre 15 h et 16 h , ensuite la nuit tombe.






Mardi 14 : idem. Randonnée de 5 h où nous avons pu voir toucans, colibris, et autres oiseaux inconnus. Tout ça avec notre chien guide qui nous a accompagnés toute la journée et que nous avons surnommé QUITO.
Pas aussi bien dressé qu’Orson, mais autant chasseur que lui. Pour preuve, la poule qu'il a chassée… Paix à son âme.

Mercredi 15 : réveil matinal pour partir en exploration avec Marcello William notre hébergeur et aussi ornithologue réputé de la région (selon le guide). Avec Marcello William, là pas de problème ! Petit déj, oiseaux, condor, là pas de problème.
 Photo prise avec sa longue vue


Route vers Latacunga, où nous venons d’arriver et où nous allons passer notre première nuit en couch surfing.