.

« Certains ont une peur bleue de l'inconnu et refusent tout changement qui les touchent personnellement. Ils ont des idées, des projets, des rêves, mais ne les accomplissent jamais, paralysés par mille peurs injustifiées, les pieds et les poings liés par des menottes dont ils sont pourtant les seuls à avoir la clé. Elle pend autour de leur cou, mais ils ne la saisiront jamais. »

Parce qu’on refuse de s'enfermer dans nos habitudes qui solidifient l'esprit, ni dans le confort engourdissant de ce que nous avons et savons déjà faire. Nous allons saisir cette clé afin d’aller au-delà de notre peur de l’inconnu. ( cf. L.Gounelle)

samedi 31 décembre 2011

Carita. Bandarlampung. On a eu chaud…

Oui on a eu chaud. D'une part avec le temps et puis pour différentes raisons cette semaine, des moments stressants ! Le charme ou pas de l’aventure Glück, nous rappelant qu’on peut vite se retrouver dans une situation délicate.

Hari Senin 26 Desember (lundi)

Ce matin, on part au cybercafé du coin que l’on espère ouvert. Enfin, on peut blogger notre semaine passée. On découvre les commentaires de notre dernier message, surpris, on apprécie les réactions. On lit aussi nos différents mails de fin d’année, ça aussi ça nous fait du bien. Entre temps, Thierry se bat, insulte, amadoue son PC pour publier le message blog et comme Julien, réponds à quelques mails. Le temps passe vite. Il est midi, on doit rendre notre chambre et filer prendre notre bus pour Carita à l’extrême ouest de l’île de Java. Le lonely-planet nous indique 4h (160km) de bus depuis Bogor plus un petit van pour s’y rendre. On devrait donc y être en fin de journée… Normalement…
On prend le transport en commun indonésien : un petit van appelé Angkot, pour se rendre au terminal de bus. Avec la circulation toujours aussi infernale, on mettra plus de temps que si on y était allé à pied.
C’est n’importe quoi ! Les autorités indonésiennes vont devoir mettre des quotas : pour la même ligne, il y a un van toutes les 20 secondes et les trois quart sont vide ! Heureusement qu’une bonne partie de la population roule en scooter et à quatre dessus… Bon, on ne refera pas le monde ! On a l’habitude de prendre notre mal en patience, en silence. On arrive vers 13h à la gare routière. Après maintes recherches, aucun bus ne va directement à Labuan comme nous l’explique le guide. On doit changer de bus à Rangkasbitung. On monte donc dans le bus prévu pour cette destination, un joli petit bus jaune. En attendant le départ, on admire la déco des autres bus. Il voit quoi le chauffeur ???
14h, le moteur démarre enfin ! Pas parti pour autant. Les 25 places assises sont prises et au fur et à mesure qu’on sort de la gare en mode escargot le mini bus se remplit.
Dis, papa Daniel, pourquoi ne mettais-tu pas 55 personnes dans un car de 25 places ??? T’aurais pu acheter que des petits bus au lieu d’en acheter des grands…
20 minutes après, on quitte la gare, pas la ville, trop de bouchons. Et ça monte encore dans le bus. On a presque le droit à une mama sur les genoux.

On avance à rien : il est 15h et on voit toujours des panneaux Bogor. La route commence à se dégager petit à petit, mais devient de moins en moins praticable : aïe, les fesses, le dos, les genoux. Rangkasbitung est à mi-parcours donc suivant le guide à 2h de Bogor. On traverse des palmeraies, des exploitations de bois, des collines complètement dénudées, puis à nouveau la jungle. Vers 18h, notre petit bus fait le plein et la nuit approche. Mais quand est-ce qu’on arrive ???
18h20, il fait nuit, on saute du bus. On évite avec le sourire la dizaine d’Indonésiens qui veut notre argent. On court vers un angkot, pour rallier la ville voisine et choper le bus pour Labuan à 8km de notre destination finale Carita. À peine arrivés, notre chauffeur stoppe le bus pour Labuan qui nous passe devant le nez. On s’embrouille avec lui car il veut nous faire payer trois places. Heureusement, on essaye toujours de se renseigner avec les locaux du prix des trajets. Tiens, prends 12000, merci, au revoir !
Il est 19h. À peine installés dans le bus, on a encore le droit à une équipe d’accueil. Avec la fatigue, la nuit tombée, on a du mal à garder le sourire. Bon sang, la paix ! Oui, on connait Zidane, j’étais à l’école avec lui, Benzema oui, Henrrrry, oui pareil, Ribery, oui aussi.  Ils sont fous de foot, les pauvres… Nicolas Sarkozy aussi, on a gardé les vaches ensemble. Oui, on a des vaches, des grosses même…  On nous regarde encore plus que d’habitude comme des singes : mais qu’est-ce qu’ils font là ces blancs ? On ne sait pas ! Mais bon sang, qu’est qu’on fout là à cette heure-ci !!! Allez, Glücks soudés.

20h passées, le stress!...
Notre bus s’arrête à une station. À peine la porte ouverte, des mecs surgissent dans le bus, notre heure est venue. Restons cool. « Mister, Mister, it's finish, finish ». Quoi, c’est finit  ! On va mourir ce soir ? Là, dans le gazole ! « No mister, bus finish, come on whith me by motorcycle to Carita » ! Combien ? Tu m’as vu ? Ce n’est pas marqué BNP Paribas. Bon, gardons le sourire ! Allez, on se casse, on fait comme si on savait où aller. On ne fait pas les malins, la station est en dehors de la ville, il fait nuit. Certains téméraires nous suivent encore avec leur scoot, mais laissent tomber au bout d’une centaine de mètres. Ouf ! On demande un hôtel en chemin, les gens ont des bonnes têtes. Allez, on mange ici ! Autant mourir avec le ventre plein. Il faut qu’on trouve un hôtel rapidement. On n’est pas du tout rassuré. À  Auckland, la vie nous a déjà rappelé que les cons sont partout. Même ici, avec leur sourire, on sent les hypocrites qui nous dépouilleraient bien, ni vu, ni connu. On reprend la route. Deux scooters attendent devant le restaurant, mais ils ont compris qu’on n’a pas envie d’aller monter sur un scooter à cette heure-ci pour faire encore 8km. On rentre à pied dans la ville : chouette des lumières, merde du monde partout. « Hey mister blablabla ». On garde le sourire, tout va bien, on sait où on va. Bon sang, il est où cet hôtel ?
21h30, le patron nous montre une chambre. Pas la moins chère qu'on ai eu en Indonésie, 70000 roupies, soit 3€ par personne, mais la plus pourrie, nous rappelant certaines nuits en Amérique latine ! Des draps percés qui n’ont pas servi qu’à nous, un matelas mou comme un marshmallow et reposant sur trois lattes, l’odeur d’humidité plus celle du lieu d’aisance. Et bonne surprise, on n’est pas seuls : bonne nuit les blattes !


Hari Selasa 27 Desember(mardi)

Notre chambre (sans l'odeur).


Mais qu’est-ce que le muezzin, notre voisin d’en face, peut bien raconter à 3h30 du matin ? Comme si le musulman se levait pour prier ??!!!

Allez, partons d’ici ! La nuit, des mecs ont rôdé devant notre porte. On ne connaissait pas leurs intentions et vaut mieux ne pas le savoir. À nouveau, magouille et compagnie pour monter dans un angkot. Une mamie me montre un billet de 5000 rpe pour le tarif de la course, ok, merci. Ils veulent tous nous envoyer à 8km d’ici pour le quadruple, ouai, c’est ça ! Leurs têtes ne nous conviennent pas du tout dans ce bled. On monte.  À l’arrivée, Julien donne 10000 rpe pour les deux. On tourne le dos et on se barre. Ça c'est fait ! Vous aurez compris qu’avec la journée d’hier, on est fatigué et remonté. On commence à en avoir ras le bol ! 2km de marche plus loin, on trouve un petit hôtel en bord de mer. Il y a des touristes indonésiens, le coin nous va bien. Les prix sont en augmentation avec les vacances. Aïe, aïe, aïe, qu’est-ce que ça va être le jour du réveillon ? À peine installés, une mama passe devant notre chambre et propose un massage d’une heure pour même pas 4€50. Ah oui, ça ne nous fera pas de mal avec la journée d’hier. Ses bonnes mains un peu rêches n’ont pas l’habileté d’une pro, mais nos muscles martyrisés la veille par 160 km, soit 9h de transport et de marche, plus le stress, n’en demandent pas plus.
Journée paisible, on fera la connaissance d’un Suédois installé là depuis 4ans. Il nous parle du temps, ici, avec une température constante entre 27 et 33° toute l’année. Puis il nous raconte l’incroyable explosion du volcan Krakatau (ou Krakatoa) en août 1883, un truc de fou ! Une explosion entendue jusqu’en Afrique (5000km de là), provoquant un tsunami de 40m de haut et se déplaçant à plus de 500km/h. Une colonne de cendre de 20km de haut qui retombera jusqu’à 6000 km de là !  Les cendres dans l’atmosphère apporteront la nuit en plein jour sur l’Indonésie, abaisseront la température du globe, créeront des couchers de soleil insensés, des lunes bleues, etc. Un truc d’ouf ! Quand est-ce qu'il remet ça ?

On aperçoit le volcan fumant situé à 40 km de nous.





Hari Rabu 28 Desember (mercredi)

La nuit n’a pas été de tout repos : environ 30°C dans la chambre, plus l’humidité. Randonnée au programme ce matin. Pas facile de trouver sa direction dans ce pays : quelque soit la question, on nous répond oui. Tous les enfants nous saluent avec leur éternel « Hello Mister ». Après 30 minutes de marche, on trouve le chemin qui mène à la jungle. On marche environ deux heures avec le chant des criquets pour atteindre une cascade. Rien d’exceptionnel, mais une balade bien agréable loin du bruit constant des voitures et des scooters en échappement libre. Le calme de la nature nous soigne. On entend et on aperçoit quelques oiseaux. Des papillons nous passent sous le nez. Il fait environ 28°C  et on est trempé. On aperçoit une famille de singes noirs, puis un autre, seul, marron clair. Il est trop rapide pour le photographier.









Retour à la civilisation en début d’après-midi. Il fait vraiment très chaud, 33°C, on transpire à rien faire. L’après-midi, on reste tranquille entre la plage et l’hôtel.

Comment charger un camion de noix de coco !


Hari Kamis 29 Desember (jeudi)

La plage, au réveil : il y a déjà foule.

En route pour le sud de Sumatra : 61km pour rallier le port de Merak à la pointe ouest de l’île de Java. 2 heures en angkot, la route est défoncée, l’aventure continue.

2h plus tard, nous voilà à l’embarcadère. On prend notre ticket pour 3h de traversée dans un gros ferry pas tout jeune.

12h, c'est partit pour la traversée du détroit de la Sonde. On est sur le pont économique où une sono crache des watts à rendre sourd un malentendant. C’est karaoké !
On est encore les seuls Glücks à bord. Ils veulent nous faire chanter. On est encore sujet aux regards et aussi aux moqueries. On prend ça comme un jeu. Il n’y a que ça à faire, mais par moment c’est pénible.
15h, on accoste sur l’île de Sumatra. Allez, à nous de rigoler ! On les voit déjà tous nous repérer depuis le quai pour nous faire monter dans leur taxi, moto ou bus. On descend tranquille. « Hello mister, where are you going ? » Réponse des Glücks : « mes fesses ! » (Le mot officiel étant censuré). Ils tentent leur chance les uns après les autres, reposant la question fatidique à laquelle on répond toujours par « mes fesses ». Ils restent interloqués : mais c’est où ça ? Ils nous proposent tous les bleds environnants où un blanc est censé aller. Au bout de quelques mètres, on se retrouve seuls et on peut enfin chercher comme des grands notre angkot. On négocie le prix. Ou plutôt on tente, avec le sourire car ce petit moment nous a fait du bien. On fera rire les chauffeurs en cherchant des clients pour remplir le minivan. 30 kilomètres plus loin, on nous laisse à Kalianda.
On prend un scooter pour nous déposer à l’hôtel. Hôtel pas cher pour une nuit, car on veut trouver mieux dans le coin pour le réveillon. La région est dépourvue de transports en commun, cela s’annonce pas si simple. L’hôtel repéré pour ce w-e est sur la plage, mais à 30 minutes de scooter, 15 en fait. Thierry va en éclaireur pour réserver. Malheureusement, c’est complet pour le réveillon et on nous prévient que tout est complet dans le coin pour le Nouvel An. Eh merde, surtout que Marion rencontrée en Australie vient nous rejoindre.


Hari Jumat 30 Desember (vendredi)

Ce matin, direction le bureau local des télécoms pour essayer de téléphoner. En Indonésie, téléphone et poste ne sont pas faciles à trouver. Quand on arrive au bureau, ils viennent juste de débusquer un python ! Ça fait froid dans le dos.

On appelle l’hôtel visité la veille pour savoir s’il y a du changement, sait-on jamais ! Raté, c’est toujours « full ». On appelle un autre, suivant les conseils d’un employé des télécoms du local d'où on appelle : le « Resort Kalianda ». On est vite fixé. Plus de 3 millions de roupies, deux nuits pour trois, soit 50€ la nuit par personne, non, merci. On décide donc de quitter la ville. On retourne sur nos pas afin de retrouver Marion à la descente du bateau. Un scooter nous amène au bord de la route principale et quelque temps après, on monte à bord d’un bus. Un bus de 50 places assises… Les Glücks sont debout et on est au total, 76 personnes. S’il n’y avait pas d’affaires dans l’allée, on pourrait charger encore plus.

En chemin, on aperçoit à nouveau un camion renversé. Rien de surprenant étant donné leur conduite kamikaze. Vers 13h, le bateau de Marion arrive. On la retrouve tout sourire.

On prend un bus ensemble pour Bandarlampung, ville de 900 000 habitants, à 92 km plus au nord, où l’on espère pouvoir se payer un bon hôtel pour le réveillon. On se dit qu’en étant un peu en retrait des plages, ça devrait le faire. Marion nous raconte toutes ses péripéties pour pouvoir nous rejoindre depuis la veille. Elle a vite découvert le charme de l’organisation bordélique des transports indonésiens et de l’aide totalement imprécise des Indonésiens. Du coup, étant presque perdue dans la banlieue de Jakarta après plusieurs bus et trains, elle finira par dormir chez l’habitant. Bravo Marion ! T’es vraiment motivée ! En même temps, ça se mérite un réveillon avec les Glücks.
Notre bus est vraiment lent, on commence à se poser des questions. 3 heures plus tard, on arrive au terminal. On prend un superbe bus climatisé qui nous dépose pas très loin de notre hôtel de luxe repéré sur le Lonely : le Marco polo hôtel. Pas de soucis pour une chambre, mais juste une nuit, car après c’est « full ». 15€ la nuit et par personne : le budget journalier d’un Glück ! Tant pis, on veut se faire plaisir. Ici, il y a une piscine : allez, tout le monde à l’eau. Après notre bain, Julien va voir auprès de la réception pour appeler les hôtels environnants. Résultat après 15 appels : c’est complet partout. C’est de la folie ! On appelle même le Sheraton pour se payer une folie le jour du réveillon. Pas possible non plus. On stresse, étudie le guide, scrute la carte, fouille sur le net. Ça ne sent pas bon, on va dormir sous les ponts. Allez, on va manger pour se changer les idées ! En chemin, on passe devant une guest-house qu’on pense être douteuse : c’est tenu par des Chinois. Les chambres sont propres, ok, ça roule, à demain ! Ouf, on va réveillonner ici à Bandarlampung. Rien d’idyllique, peu importe,  on a un toit !


Hari Sabtu 31 Desember (samedi)

Voici le temps à notre réveil.


Grosse frayeur ce matin : le message publié hier soir n'est plus là !!! On a cru à la disparition de notre blog, l'espace d'un instant. Tout est maintenant rentré dans l'ordre. 

Bonne journée et bon réveillon à vous tous !

13 commentaires:

  1. que de péripétie au cours de votre voyage, vous souhaitant une bonne année et qu'elle démarre plus calmement. Votre blog est toujours aussi intéressant et les photos très belles.
    Bonne Continuation
    Les Gab des essarts

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  2. Comment faire pour changer ce monde?? Soyez courageux, par vos commentaires on apprend beaucoup.
    Bonne année à vous 2 et merci pour tout ce que vous nous apportez

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  3. Quelle vie passionnante! Mieux qu'un roman policier, vous nous tenez en haleine!!!
    Bon courage pour la suite et ça va s'arranger!

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  4. dora l'exploratrice31 décembre 2011 à 12:04

    salut les Glücks

    Bon je ne vous avais rien dit sur les mauvais côtés de l'Indonésie pour ne pas vous faire peur !! Là vous voyagez à 2, et moi alors quand j'étais toute seule ???J'ai crû que j'allais en tuer 1 mais je n'avais pas envie de me retrouver dans une prison indonésienne, pas marrant, je pense !!Bon allez l'Indonésie, ce n'est rien comparé à l'Inde, plein de courage et toujours avec le sourire !! Vous aurez le temps de vous reposer en Thailande, Laos et autre ...
    Profitez du réveillon et reposez vous !!
    big bizzz
    dora l'exploratrice (qui est de retour en France, grrrr!!)

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  5. Zoé, Mick et Thérèse31 décembre 2011 à 17:59

    On sent une petite pointe de ras le bol d'être sollicité tout le temps... Pas toujours facile d'être deux Glücks en Indonésie, mais vous gardez votre humour de m.... et c'est le principal !!
    On vous souhaite un bon réveillon à Bandarlampung. Quant à nous, ce soir, nous essaierons d'atteindre votre "très très haut niveau" d'humour chez Pupu et Karine,on avoue qu'on a la pression... Bisous à vous 2. Zoé, Mick et Thérèse.

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  6. Nico, Julie, Alexis et Lola1 janvier 2012 à 11:07

    Meilleurs voeux à vous, nos deux glucks pour cette nouvelle année. Des grosses bises!!!

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  7. Et bien, nous sommes le 1er janvier, je me dois donc de vous souhaitez une bonne année 2012. Je vous souhaite évidemment de belles nouvelles découvertes et pas de mauvaises surprises pour cette nouvelle année.
    Bonne continuation.

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  8. Estelle, Stéphane, Thomas et Laura1 janvier 2012 à 15:00

    Nous vous souhaitons une très belle année 2012. Que ce tour du monde Glückesque se poursuive comme il a commencé, avec plein de découvertes, de belles rencontres et surtout un passage par le Cambodge qui restera certainement inoubliable ;o) !
    Plein de bisous à nos 2 Glücks préférés.

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  9. joelle et michel1 janvier 2012 à 17:08

    bonne annee 2012 de la part de toute la famille. Gros bisous a tous les deux

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  10. Après une déconnexion (portable et internet) pendant 48h, nous voilà de retour pour une Nouvelle Année...Et oui pas de réseau à Bret et surtout pas d'Ordi ... Je vois que votre Aventure est encore palpitante, vous nous tenez en haleine...
    Nous vous souhaitons une Bonne Année 2012... qu' elle soit aussi trépidante que l'année passée... sans trop d'aléas négatif bien sûr...Plein de Bisous à vous 3... que Mini Glück reste surtout au chaud lors de rencontres pas très sympathiques... Bisous

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  11. Salut les Glucks, bon on ne dirait pas comme ça mais je suis... si si!! et c'est passionnant et surtout bienvenus en Asie ;-)c'est bien ça vous prépare pour la Thaïland. c'est un "mauvais" moment à passer mais après quand on le sait ça passe mieux... ;-)
    bon je vous souhaite une très belle année 2012! et vous êtes avec une Marion donc entre de bonnes mains
    la bise parisienne

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  12. Ahhhh pas facile d être une Glucks star!!!!En tout cas, tous mes voeux pour cette nouvelle année 2012 !!Je vous souhaite pleins de découvertes encore plus belle que celles que vous avez eu l occase de faire en 2011 lors de votre séjour.En tout cas, toujours un plaisir de vous lire....Boune année mes ti glucks!!!!
    ps:avez vous réussi à regarder ce qu on vous à envoyer pour noel???? Et en ce qui nous concerne.............. jour J - 44!!!!!!! ;)

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  13. La classe de LAURE3 janvier 2012 à 16:34

    Salut les Glücks et Mini-Glück

    Nous voilà de retour à l'école après 15 jours de vacances, nous vous disons :
    "BONNE ANNEE et BONNE SANTE !"
    Et nous souhaitons que vous meniez votre Tour du monde jusqu'au bout ...
    Nous avons bien rigolé avec "Mes Fesses" ... ça n'a pas l'air très drôle l'Indonésie !!
    Questions de Eloïse et Armand : quelle est la langue utilisée en Indonésie ? Savez-vous si l'école fonctionne comme en France ? Est-elle obligatoire ?

    Ce pays semble assez pauvre et très différent du nôtre !

    Bonne continuation et à bientôt

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